Une innovation pédagogique continue et un dispositif de formation unique centré sur l’acquisition de compétences pertinentes pour votre protection.

Apprendre à penser avec audace pour servir le monde

L’Institut Diplomatique de Paris, propose une offre d’exception d’études et de formation diplomatique et internationale d’excellence, innovante, complète, pointue, spécialisée et professionnalisante à vocation internationale aux valeurs les plus élevées pour une expérience étudiante qui vise la réussite professionnelle de nos apprenants au niveau mondial.

La formation est essentiellement axée sur la théorie, la pratique, les compétences et le brassage des expériences et des cultures. Elle appelle une pédagogie participative et s’appuie également sur une formation par les pairs.

La Relation éducative qu’organise l’Institut Diplomatique de Paris se distingue par son approche pédagogique plurielle inscrite dans une logique d’« Intelligences unies » pour le développement de capacités singulières et collectives.

La qualité de l’enseignement, la mise à jour régulière des programmes de formation et l’amélioration et l’innovation constantes demeurent parmi les priorités de l’Institut Diplomatique de Paris. Son LAB et son espace C&D (connexions et développement) témoignent de la recherche de nouvelles solutions didactiques et pédagogiques pour nourrir et développer l’intelligence, l’ouverture d’esprit et l’esprit critique notamment par les échanges, les confrontations et les débats dans un esprit de bienveillance.

Le LAB et l’espace C&D de l’IDP, véritable laboratoire d’Innovation didactique et pédagogique et plateforme de développement d’idées dont l’approche est de « Penser et Agir avec Flexibilité » travaille à apprendre à créer le savoir, à construire la connaissance, à développer des compétences et des capacités diplomatiques des Diplomates et des Internationalistes pour les métiers de la diplomatie et des affaires mondiales partout dans le monde.

 

Un nouveau souffle, c’est la réponse de l’Institut Diplomatique de Paris
à l’éducation et à la formation des diplomates d’aujourd’hui et de demain.

Projet pédagogique et évaluation

Le passage d’une organisation des dispositifs de formation à partir de contenus indiqués dans des programmes, à une logique des compétences ne va pas de soi. Il s’agit bien de changer la représentation que le formateur a de son rôle.

Il n’est plus seulement là pour transmettre du savoir objectif mais pour, à partir de différents savoirs mis en travail par le formé, l’accompagner dans l’appropriation de ces savoirs (théoriques et d’expérience).

La compétence est une mobilisation du sujet connaissant, un rassemblement de ressources pour faire face à une situation, une convocation hic et nunc, d’une variété de savoirs, savoirs académiques, formels ; savoirs investis, plus ou moins en voie de conceptualisation ; savoirs incorporés et issus de l’expérience, qui demeurent partiellement voire totalement non conscients. L’évaluation ne se donne plus à voir seulement sous la forme de bilans et de suivis notés.

La mise à jour des tâches proposées au formé dans un référentiel ne suffit pas à favoriser cette acquisition qui ne se limite pas à savoir faire les bons gestes mais demande aussi au professionnel une réflexion continue sur ce qu’il fait, sur son activité, un investissement particulier de son corps dans l’action.

C’est l’évaluation dans la formation.

En fait, parler de compétences et non plus seulement d’objectifs, c’est éliminer deux fantasmes ordinaires, de sens commun : d’abord l’idée que le savoir pourrait être « spéculatif » et que donc, la formation ne serait que de la distribution de savoirs à intérioriser.

Or on sait aujourd’hui que le savoir est nécessaire, pas seulement pour faire quelque chose mais pour se donner des repères dans l’agir, pour penser en situation.

L’autre fantasme auquel on ne peut plus avoir recours est que le travail ne serait que du « machinal » que l’on ferait sans y penser.

On sait aujourd’hui que travailler, c’est mettre en actes des compétences, c’est-à-dire faire, dire, penser, ressentir.

On parle alors de compétences incorporées, de savoirs en actes, d’habiletés.

Il semble important de ne pas réduire la compétence à une action finalisée, opérationnelle, pour fabriquer des produits, dans une vision fonctionnaliste de l’action.

L’agir est plus large : les errances et les détours y sont signifiants avant d’être seulement productifs.

L’évaluation devient cette acuité particulière que doit posséder le formateur à cette signifiance, en continu.

L’adossement des programmes de formation à la recherche est un principe fondamental de l’Institut Diplomatique de Paris.

 Les programmes de formation se nourrissent de la recherche.